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il y a 4 ans
Synopsis de cette histoire érotique : Marc, Fred et moi, 3 amis d’e n f a n c e , sommes partis en vacance à l’océan pour l’été de nos 18 ans. Fred, le don juan du groupe, a réussi à avoir un rendez vous avec une fille qui a pour notre plus grand bonheur, deux très bonnes copines. L’une d’elle est Marianne, une magnifique et immense métisse à la poitrine très opulente. Cette belle plante va me faire découvrir l’amour et le sexe, à moi Eric, petit puceau gringalet.
A peine remis d’un voyage épuisant depuis Paris, Fred, Marc et moi nous retrouvons sur une magnifique plage de l’océan atlantique. Nous sommes trois amis d’e n f a n c e qui avons bien l’intention de profiter au maximum de ces trois semaines de plaisir. Nous venons juste d’avoir dix huit ans et une seule chose occupe nos pensées : Les filles ! Assis en maillot de bain sur la plage, nous essayons d’établir une stratégie pour en rencontrer au plus vite. Fred prend la parole.
- Le plus simple, c’est que l’on se sépare pour l’instant. Chacun essaie de faire des contacts, et dès que l’on a une touche, on essaie de voir si la belle n’a pas des amies célibataires ? Ok ?
Marc et moi acquiesçons. Fred est un beau gosse. Il n’aura pas de problème à séduire. Pour nous, ça risque d’être plus compliqué. Marc est assez grand, mais est très maladroit et d’une timidité maladive. Quant à moi, j’ai 18 ans mais en parais 16 ! Je n’ai pas une pique de barbe et mon corps est imberbe. Je suis très mince et pas très grand. Avec mes 1m60 pour 49 kg, j’ ai l’air de n’avoir que la peau sur les os. Je suis vierge, je n’ai même jamais embrassé de femme. Je compte donc logiquement sur le charme de Fred pour m’aider à trouver une partenaire.
- Le premier qui trouve appelle les autres. Ok ?
Nous sous séparons. Je marche lentement sur la plage. La plupart des filles que je croisent sont déjà en couple ou me paraissent inaccessibles. Je m’assoie dans le sable dépité par mon incapacité à séduire. Je sens alors mon sac vibrer. C’est un sms de Fred:
- J’ai trouvé la perle rare ! Retrouvez nous sur la plage pas très loin d’où nous sommes partis.
J’adore mes amis ! Jamais ils ne m’ont laissé tombé. Je reviens donc à mon point de départ et quand j’arrive à une cinquantaine de mètre de mes amis, je vois que Marc est déjà là, qu’il y a trois filles et que l’une d’elle paraît immense ! Elle dépasse Fred de prêt d’une tête alors qu’il doit bien faire 1m80 ! Non contente d’être grande, sa carrure est aussi exceptionnellement large. Plus je m’approche et plus cette silhouette me fascine. Cette belle plante porte une jupe légère qui arrive au milieux de ses cuisses musclées. Ses mollets sont tout aussi impressionnants. Elle porte un débardeur moulant qui met en valeur une poitrine très opulente, avec de fières tétons qui se dessinent sous le tissus. Son ventre plat est apparent et on devine des abdominaux puissants sous sa peau. Je n’ai jamais vu, même chez un homme, d’épaules aussi larges et bien charpentées. Les muscles de ses bras massifs se dessinent à chacun de ses mouvements. Je suis fasciné et à ma grande surprises très excité par la vision de la jeune amazone. Je ne suis plus qu’à quelques mètres et je vois qu’elle a une belle peau mate, dorée par le soleil. Son visage est le plus beau que je n’ai jamais vu ! Une peau lisse, des yeux sombres qui dégagent énormément de douceur, un sourire éclatant à la dentition parfaite. Cette fille est une harmonie de puissance et de féminité.
Arrivé au milieux du groupe, Fred me présente alors:
- Voici Eric, le dernier larron.
Désignant poliment l’immense beauté métisse avec sa main, il me présente la belle.
- Je te présente Marianne. Elle fait des études de littérature et c’est une lanceuse de marteaux émérite. J’imagine que tu dois te poser la question : Elle mesure 1m98. Elle est adorable, je suis sûr que vous allez bien vous entendre.
Je me tiens face à Marianne. Mes yeux tombe pile en face de sa lourde poitrine sur laquelle j’essaie autant que possible de ne pas me focaliser. La belle pose alors sa large palme sur ma frêle épaule et se penche pour me faire la bise. Machinalement, je me mets sur la pointe des pieds. Le contact de ses lèvres sur mes joues m’électrise. Son parfum me fait tourner la tête et je ne peux m’empêcher de laisser traîner mes yeux dans son profond sillon mammaire qui vient de se dessiner. Elle se redresse et se tourne vers Fred qui doit lever la tête pour regarder l’amazone dans les yeux.
- En effet, il est tout petit mais je le trouve super mignon. Ne t’inquiète pas, je vais bien m’occuper de lui.
Me dévorant de son beau regard coquin, elle me propose alors de la suivre.
- Je vais t’emmener dans un coin où l’on pourra faire connaissance tranquillement. Suis moi.
Le belle se met à marcher et je lui emboîte le pas sans traîner. Ses pas sont deux fois plus longs que les mien et je dois trotter derrière elle pour arriver à la suivre. Les muscles de ses mollets se gonflent et se dégonflent à chacun de ses pas. Ses fesses sont bien galbées et paraissent d’une fermeté à toutes épreuves. Elle se dirige vers le parking deux roues et se fixe devant une moto de grosse cylindrée.
- Tu n’as pas peur en moto ? Accroche toi bien à moi et tout se passera bien.
Elle me tend alors un casque qu’elle m’aide à ajuster sur ma petite tête. Je sens alors ses deux mains sous mes aisselles et avant même que je ne réalise ce qui se passe, elle me soulève comme une plume pour me poser à califourchon sur le siège. Mais quelle f o r c e ! Son visage n’a pas esquissé le moindre signe d’effort. Surprise elle même de la facilité avec laquelle elle m’a positionné sur l’engin, elle me demande:
-
Combien pèses tu ? Tu es si léger ! C’est à peine si j’ai senti ton poids !
-
Je fais seulement 49 kg.
-
En effet ! Tu n’es vraiment pas lourd. Ce n’est rien à comparé de mes 120 kg !
120 kg ! La belle est plus de deux fois plus lourde que moi et est tout en muscle. Elle me fait me sentir si faible ! Mais ce sentiment de faiblesse m’excite tellement...
Mes petites jambes pendent de part et d’autre de l’engin. Elle s’assoie sur la moto dont les am o r t isseurs accusent la charge. Je me retrouve collé à son dos et mes yeux arrivent à peine au niveau de la naissance de son cou. Je tente d’enserrer la large taille de la belle et mes bras sont juste assez longs pour en faire le tour. Son ventre est si ferme que je sens ses muscles bouger sous mes mains. La base de ses seins lourds et fermes touchent parfois mes minces avant bras. Il n’en faut pas plus pour déclencher l’érection de mon petit sexe. Pourvu qu’elle ne perçoive pas le durcissement de mon entrejambe contre sa croupe! Je serais si gêné.
Marianne démarre la moto et accélère doucement pour ne pas me faire perdre l’équilibre. La moto vrombit et les secousses poussent parfois sa lourde poitrine à s’écraser un peu plus sur mes bras. Mon sexe est si tendu qu’il me fait presque mal. Jamais une femme ne m’a autant excité !
Après quelques minutes de trajet, mon amazone prend un chemin de terre qui mène jusqu’à une petite crique isolée. C’est un vrai paradis ! Nous y sommes seuls et elle est si enclavée que personne ne peut nous y voir. D’immenses pins créent une large zone d’ombre sur le sable blanc. Marianne arrête la moto puis la stabilise de ses puissantes jambes. Un fois, le moteur coupé, seule le bruit des vagues et du vent se fait entendre. Tout est si calme ! En effet, on va être bien tranquille pour...apprendre à se connaître.
Mon amazone descend alors de la moto et tire la béquille. Elle enlève son casque et son regard se porte immédiatement sur mon entrejambe. Ce n’est pas facile de cacher une érection quand on est en slip de bain ! Elle sourit et me dit alors:
- Il me semblait bien que j’avais senti quelque chose de petit et dur contre mon dos.
Mon sexe, même s’il n’est pas énorme, tend la toile de mon maillot et mon gland est visible à la verticale de mon nombril. La belle m’aide à enlever mon casque et toujours avec grande facilité, elle me soulève sous les bras pour me poser les pieds dans le sable. Je me retrouve alors face à son immense silhouette, le nez entre ses énormes seins. Je me sens si petit et vulnérable, vêtu uniquement d’un slip de bain dont mon sexe veux s’échapper. Me toisant de toute sa hauteur, elle passe ses mains sous mon maillot et saisit chacune de mes fesses nues dans ses mains pour me plaquer contre elle. Je lève alors les yeux vers son doux visage et admire sa beauté à travers la vallée que forme ses énormes mamelles. Elle s’adresse à moi d’une voie douce et sensuelle.
- Tu sais que tu me plais vraiment beaucoup. Tu es tellement mignon ! J’ai toujours aimé les garçons dans ton style, petit, mince, sans poil. ça doit me rappeler l’époque où je jouais encore à la poupée. J’ai envie de croquer tes petites miches de bébé, elles sont si tendres.
Ses doigts puissants pétrissent mes petites fesses douces et imberbes. Elle reprend son discours.
- Je parie que tu es vierge ? ça se voit, ça se sent même. Ne t’inquiète pas, je vais faire de toi un homme mon mignon.
Elle retire alors une de ses mains de mon maillot et s’en sert pour plaquer mon visage contre sa poitrine. Je suis aux anges ! Depuis le temps que j’avais envie de sentir le contact de ces deux énormes masses. Ils sont comme je l’imaginais, doux et fermes à la fois, denses et moelleux. Aidé par mon sexe qui n’en finit pas de se tendre, elle f o r c e mon maillot à tomber à mes pieds. Je me retrouve nu comme un ver face à l’immense beauté qui veut me dépuceler. Mon pénis tente de se frayer un chemin au milieux de ses jambes mais ses cuisses sont si musclées qu’il finit juste par se dresser vers le ciel. J’ai tellement envie de jouer avec ce corps ferme et voluptueux que je laisse définitivement ma pudeur de coté pour poser mes petites mains sur son fessier de géante. J’ai l’impression de toucher du béton recouvert d’une douce couche de velours. Marianne frémit de surprise et de plaisir.
- Oh oui ! Vas y mon petit ! caresse mes fesses de tes petites mains. N’hésite pas à aller plus loin, j’adore ça.
Je me met donc à la caresser sous sa culotte, m’approchant de son entrejambe humide. Je la sens vibrer de désir sous mes doigts. Relâchant son étreinte, Marianne recule d’un pas et me lance d’un ton taquin:
- Laisse moi te regarder maintenant que tu es totalement nu.
Son regard vif parcourt mon corps chétif des pieds à la tête. Comme un élève sage qui attend le verdict de sa maîtresse, je croise mes bras dans le dos. Tendant sa main droite, elle caresse mon pénis dressé du bout de ses gros doigts qui remontent ensuite en passant par mon nombril, dévient jusqu’à un de mes tétons et finissent sous mon menton sur lequel ils exercent une légère pression pour me f o r c e r à lever la tête. Je crois que, oui ! Elle va m’embrasser ! Son visage se penche sur moi jusqu’à ce que sa bouche recouvre la mienne. Mon coeur bat à tout rompre et je ne sais quoi faire. Sa langue entre doucement dans ma bouche et vient caresser la mienne. J’imite son mouvement et mes mains viennent se poser sur ses larges hanches. Marianne se redresse et sourit tendrement.
- Tu embrasses bien mon petit chéri, et puis tu as bon goût. ça mérite bien une récompense.
Croisant ses bras devant elle, Marianne saisit les bordures de son débardeur pour l’enlever. Ses seins massifs sont tout d’abord contraints de suivre le mouvement imposé par la pression du tissus, puis ils retombent lourdement contre son buste quand ils se retrouvent finalement libérés de leur carcan. Ils sont absolument superbes ! Ils pointent fièrement vers moi comme si la gravité n’avait pas d’effet sur eux. Ils sont encore plus gros que je l’imaginais. Même ma tête est plus petite. Ils sont d’une belle couleur ambrée, parcourus de veines bleutées. Les vastes aréoles sont d’un brun léger. Je suis hypnotisé par ces deux énormes joyaux qui gigotent à quelques centimètres de mon visage. Marianne susurre alors :
- Tu as l’air d'apprécier le spectacle. Tu n’as pas envie de jouer avec ? Qu’attends tu ?
Doucement, comme si je voulais caresser un animale sauvage, j’approche mes mains de la poitrine majestueuse. Je commence à la soupeser, à la presser. Elle est si lourde, si dense ! J’ai tellement envie de goutter à cette merveille que j’approche mes lèvres du téton droit qui se trouve juste en face de ma bouche. Jetant un coup d’oeil au visage de mon immense princesse, je perçois dans son regard son accord à ce que je satisfasse ma gourmandise. J’engloutis la friandise dans ma bouche, je la suce, je la lèche. Marianne vibre de plaisir.
- Oui, vas y. J’adore que l’on me lèche les seins,surtout quand c’est une langue de puceau fine et douce comme la tienne. Vas y plus fort !
Passant sa main sur l’arrière de mon crane, elle me f o r c e à appuyer plus fortement sur son sein qui s’étale sur mon visage. Son autre main vient jouer avec mon sexe qu’elle stimule entre son pouce et son index. J’ai tellement envie d’elle que je décide de lui enlever sa robe. Mes mains passent sous sa jupe au niveau de la ceinture et la tire vers le bas. Un fois la barrière de ses larges hanches passée, le morceau de tissus tombe au sol en même temps que sa culotte. Ma belle est entièrement nue devant moi et je caresse alors son sexe, doucement, comme une fleur fragile. Ses lèvres sont humides et chaudes. Elles frémissent sous mes doigts. Marianne répond à mes initiatives par un ronronnement de plaisir, telle une lionne en chaleur qu’un petit chat de gouttière cherche à posséder. Elle relâche l’étreinte de sa main sur mon crâne et me regarde d’un air sévère, alors que je suis encore entrain de téter son sein.
- Tu es prêt, on va passer aux choses sérieuses.
S’accroupissant légèrement, elle passe un de ses avant bras massif sous mes fesses et me soulève comme une fillette pour m’asseoir à califourchon sur une de ses hanches. Elle finit de me positionner par une puissante impulsion du bassin qui fait sauter mon corps en l’air comme s’il ne pesait pas plus lourd qu’une plume. Je ne peux contenir mon étonnement.
-
Tu es si forte ! J’adore quand tu me soulèves ! ça m’excite énormément.
-
Je sais. J’ai l’habitude. Depuis que la nature m’a donné ce corps fort et puissant, je me suis bien rendu compte que la plupart des hommes fantasmaient sur moi, et se pissaient dans l’oeil dès que je les soulevais.
-
C’est une vraie découverte pour moi. Ta silhouette m’a totalement hypnotisé la première fois que je t’ai vue. Tu es si belle, si grande, si forte…
-
Merci mon petit chéri, tu es adorable, si petit, si léger, si mignon.
Les chromes luisants de la moto reflètent l’image bien singulière d’une petit homme pâle porté par une belle et grande femme à la peau mâte. Je parais si petit et si léger dans les bras de ma belle. Elle m'emmène un peu plus loin sous les arbres, là où pousse une mousse confortable, plus propice à des ébats torrides. Elle s’agenouille par terre puis passe sa main derrière mon dos pour m’allonger délicatement sur le sol et se positionne ensuite à quatre pattes au dessus de moi. Ses seins touchent presque mon visage et Marianne prend un air grave pour me dire:
- Je vais faire de toi un homme.
Elle se penche alors un peu plus pour caresser tout mon corps avec sa lourde poitrine, d’abord mon visage, puis mon buste, mon ventre et enfin mon sexe qui se trouve prisonnier au milieux des deux melons. La belle entreprend alors de me masturber au milieux de ses seins. Ils sont si lourds que Marianne n’a même pas besoin de se servir de ses mains pour les comprimer. La pression qu’ils exercent est suffisamment stimulante pour me donner de belles sensations. Elle m’excite depuis tellement longtemps qu’elle n’a pas beaucoup d’effort à fournir pour me faire jouir. Mon corps se cabre sous l’effet du plaisir et je jouis au milieux de l’opulente poitrine de mon amante. Marianne s’assoie alors sur ses talons et me regarde d’un air à la fois satisfait et déçu:
-
Je suis contente de t’avoir fait jouir aussi rapidement, mais ce n’est pas en éjaculant sur mes seins que tu ne seras plus puceau et j’aurai bien aimé prendre un peu de plaisir aussi.
-
Je suis désolé. Tu m’as tellement chauffé depuis que tu m’as soulevé pour me monter sur ta moto que je ne tenais plus. Tes seins sont si beaux et si lourds, je n’ai pas pu me retenir plus longtemps.
-
Ce n’est pas grave. On a tout l’après midi devant nous mon petit amour. Si on allait se baigner ? J’ai besoin de nettoyer mes seins que tu as englué.
-
Tu sais, je ne suis pas un très bon nageur, et avec ses vagues, j’ai peur de ne pas y arriver.
-
Mais ce n’est rien mon petit, je vais t’aider.
Marianne se relève alors et je fais de même. Elle s’approche de moi pour m’attr a p e r mais je recule pour tenter d’éviter le bain. Elle se penche alors un peu, passe un main sous mes fesses, puis me soulève ensuite pour me maintenir à plat ventre sur une de ses larges épaules. Je gigote les jambes pour essayer de m’échapper mais je ne peux rien faire. Elle me donne alors une petite claque sur les fesses qui me convainc que je ferais mieux de rester immobile. Elle dit alors en riant.
- Si je te dis que l’on va se baigner, c’est que l’on va baigner ton petit cul blanc de parisien.
Elle se met alors à marcher en direction de l’eau et j’ai une vue plongeante sur sa superbe chute de rein, son imposant fessier, l’arrières de ses cuisses galbées et ses mollets puissants. Elle pénètre alors dans l’océan et s’enfonce petit à petit jusqu’à ce que l’eau frôle mon visage.
- Eh ! Attention ! Tu vas me noyer !
Marianne me fait alors glisser sur son épaule pour que je repose face à elle, confortablement assis sur son avant bras, mes maigres jambes pendant de part et d’autre de son corps. Mes mains viennent machinalement se placer sur ses seins qui remontent sous son cou sous la pression de mon buste. Mon visage est face au sien. Elle ferme les yeux et m’offre ses lèvres. Je l’embrasse goulûment comme pour la remercier d’être à nouveau porté dans ses bras puissants. Son autre main vient sur ma nuque pour me caresser et soutenir ma délicate ossature, pendant que les vagues viennent frapper mon dos. Marianne continue alors à avancer et l’eau continue de monter. Elle s’arrête puis fléchit ses jambes pour que nos têtes passent sous l’eau alors que nous nous embrassons toujours. Les sons deviennent plus feutrés et le contact de l’eau tiède détend mon corps qui se relâche dans les gros bras de la lanceuse de poids. Ils n’en faut pas plus à mon sexe pour reprendre de la vigueur. Il se tend contre la poitrine de ma princesse qui se relève, et nous émergeons. Nous nous regardons alors l’un l’autre. Marianne esquisse un sourire quand elle sent que je suis à nouveau prêt à la satisfaire.
- Je vois que mon petit homme est à nouveau heureux.
Elle me porte alors sur la plage, s’agenouille, puis me dépose à nouveau sur le sol, dos sur le sable tiède. Elle s’allonge sur moi et frotte son corps immense sur le mien qui s’enfonce un peu plus dans le sable. Elle se redresse un peu, puis positionne son bassin de manière à ce que son sexe soit au dessus du mien. Elle frotte mon pénis turgescent contre ses lèvres humides puis laisse enfin ma petit aiguille la pénétrer. Je viens d’atteindre le but de mes désirs a d o l e s c e n t s. Je suis en elle ! Marianne est une vraie experte. Les muscles de son vagin stimulent habilement mon sexe. Elle agite son bassin doucement, consciente que si elle va trop vite, mon inexpérience va me faire venir trop vite. Ses seins volumineux oscillent au dessus de mon visage et j’ai juste à tendre la langue pour goûter aux fruits juteux. Bien qu’elle dose sa f o r c e colossale, chacun de ses coups de reins secoue mon petit corps léger.
A mesure que son niveau de son plaisir s'accroît, Marianne augmente inconsciemment l’amplitude et la f o r c e de ses mouvement, si bien que sa lourde poitrine s’écrase de plus en plus souvent sur mon visage. J’ai beau tenté de me contrôler, mais c’est peine perdu face à cette montagne de sensualité. Je sens déjà des fourmillements dans mon bas ventre et j’explose à l’intérieur de l’amazone qui me stimule d’autant plus quand elle sent que je suis au bord de l’orgasme. Mon plaisir est si intense qu’il me pousse à tenter d’enfoncer l’arrière de ma tête dans le sable et j’ouvre la bouche pour pousser un gémissement de bonheur. Marianne toujours à califourchon sur moi me regarde d’un air amusé.
- Tu es encore venu trop vite pour moi ! Il va falloir que je t’apprenne à être plus résistant mon petit puceau.
Je regarde la belle dont la silhouette me domine. Elle croise ses bras sur son buste, comprimant sa poitrine qui n’a d’autre solution que de remonter sous sa gorge.
-
Je suis désolé. Tu es si belle, si sensuelle, et avec ta lourde poitrine qui n’en finissait pas de s’écraser sur mon visage. C’est plus fort que moi.
-
Vous êtes tous les mêmes. Une grosse paire de nibbards vous caressent les nez, et vous balancez la purée sans contrôler quoi que ce soit. On n’a pas fini de jouer mon mignon. Je vais t’apprendre à satisfaire une femme autrement...
Marianne se met sur ses genoux pour libérer mon sexe, puis roule sur le coté pour s’asseoir dos à un arbre. Elle relève ses jambes pour les écarter et m’offrir une vue plongeante sur son sexe.
- Approche toi, n’aie pas peur, je vais te guider.
Je pénètre dans l’enceinte formée par les jambes musclées de ma princesse et je m’assois sur mes talons au milieux de cette forteresse de sensualité. C’est la première fois que je vois un sexe de femme autrement qu’en photo. A vrai dire, je n’ai jamais trouvé ça très beau, mais celui de Marianne est proprement épilé et d’un rose éclatant. Faisant glisser sa main entre ses cuisses, elle écarte ses lèvres pour dégager son clitoris. Mes yeux ne perdent pas une miette du spectacle.
- Penche toi mon mignon, vient lécher mon bouton de plaisir.
Appuyant mes mains de part et d’autre du sexe de Marianne, je m’incline pour poser ma langue sur le petit bout de chair rose. Je suis surpris par sa douceur et son goût légèrement sucré. Ma belle réagit instantanément. Elle se cambre, faisant jaillir un peu plus sa belle poitrine et ses tétons vers le ciel.
- Oui, comme ça, c’est bien. Ne te contente pas de lécher dans le même sens. Surprends moi. C’est ce qui plaît au femme.
Je glisse une de mes mains sur lèvres de l’amazone et caresse doucement ses pétales. J’alterne le sens de rotation de ma langue, verticalement, horizontalement, provoquant des soubresauts de plaisir chez ma plantureuse amante.
- C’est très bien ! Continue comme ça, ouiiiiiiiiiiiiii
Marianne se met alors à caresser de ses grosses mains mon dos fragile, puis mes petites fesses. Ses doigts effleurent alors mon anus et je frémis de surprise, arrêtant de stimuler le clitoris de ma belle.
- Ne t’arrête pas ! Je ne vais pas te v i o l er ! Tu vas voir, ta rondelle est aussi une zone érogène surprenante.
Je reprends consciencieusement mon travail pendant que la main de Marianne caresse mon petit trou. En effet, je me surprends à aimer ça et mon sexe se tend même de plaisir !
Les secousses du corps de Marianne sont de plus en plus v i o l entes, je sens qu’il ne manque pas grand chose pour la faire jouir et j’augmente la pression de ma langue. Marianne pose alors ses mains autour de ma taille de guêpe et l’enserre. Au fur et à mesure de mes stimulations, le degré d’excitation de Marianne augmente tellement qu’elle finit par me décoller du sol, si bien que je suis suspendu dans les airs par la seule f o r c e de ses bras, avec ma bouche encore collée sur son sexe.
- Ouiiiiiiiiiii, mon dieu que c’est bon ! Continue, on y est presque….
J’ai l’impression d’être un sex-toy que l’amazone tient dans ses mains pour se satisfaire. Marianne se met à hurler de plaisir et son jus chaud et sucré s’écoule sur mon menton. Toujours maintenu par la taille à quelques centimètres du sol, mon corps est secoué par les ondes de plaisir qui traversent le corps de la valkyrie. Elle me pose finalement au sol et je regarde le spectacle de sa superbe poitrine qui se lève et se baisse au gré de sa respiration haletante.
Marianne me lance un regard tendre et désireux. Elle ouvre alors ses bras et m’invite à m’y jeter.
- Vient contre moi mon petit, ça vaut bien un énorme câlin.
Je me jette alors sur la poitrine de l’amazone qui me sert dans ses bras. Nous nous embrassons passionnément. Je sens ses énormes seins sous mon corps et mon sexe déjà bien excité par les stimulations anales de Marianne devient dur à nouveau. La belle me saisit alors à nouveau par la taille et me soulève jusqu’à ce que mon sexe soit au niveau de sa bouche. Elle se met alors à le sucer avec adresse, insistant sur la limite entre le gland et la hampe. J’ai l’impression d’être au paradis ! Ma belle porte tout mon poids dans ses bras et me donne la première fellation de ma vie. Je voudrais que ce moment dure pour toujours mais ma libido à grande vitesse d’a d o l e s c e n t ne s’encombre pas de ma volonté. J’explose dans la bouche de la belle qui avale goulûment ma semence.
A bout de f o r c e , mon corps se relâche dans ses mains puissantes. Je suis aussi flasque qu’une poupée de chiffon.
- Tu es un bon amant même s’il te manque encore un peu de résistance, et puis tu es tellement mignon que tu peux faire craquer n’importe quelle fille d’un seul regard.
Mon amazone me pose à califourchon sur ses cuisses et je m’étale sur ses seins. J’enserre son cou musculeux et pose ma joue sur son épaule. Ses mains viennent entourer mon petit corps et elle dépose délicatement un baiser sur le sommet de mon crâne. Le doux soleil de fin août enveloppe ma peau d’une chaleur relaxante. La brise joue avec mes cheveux. Marianne me berce comme un e n f a n t et je sombre dans une douce torpeur, me délectant du contact si sensuelle de sa ferme et volumineuse poitrine sous mon buste. C’est alors qu’une voix familière me ramène brutalement à la réalité.
- Et bien ! Je vois que vous n’auriez pas pu mieux faire connaissance ?
C’est Fred ! Les amies de Marianne savaient où elle allait m’emmener, et ne nous voyant pas revenir, ils ont décidé de nous rejoindre. Ils avaient laissé leur voiture au bord de la route. Les deux couples nous regardent d’un air amusé et surpris. Je prends soudainement conscience de la situation dans laquelle je suis: Totalement nu, assis sur les cuisses musclées d’une amazone qui me berce contre sa lourde paire de seins. Marianne passe alors une main sous mes fesses et l’autre dans mon dos, puis se relève tout en me soulevant. Elle répond à Fred:
- Tout à fait, on s’est bien amusé !
Je n’ai jamais vu mes deux amis avec l’air aussi surpris. Je ne sais pas si c’est à cause de la facilité avec laquelle ma belle me tient dans ses bras, ou si c’est par la vue de son énorme poitrine qu’elle vient de leur dévoiler. En tout cas, la toile tendue de leur caleçon de bain ne laisse aucun doute sur leur état d’excitation. Marianne s’en amuse:
- Je vois que vous aussi vous êtes en forme. C’est bien, on va pouvoir faire des trucs ensemble. Qu’en dites vous les filles ?
Les deux amies répondent en enlevant rapidement leur maillot et en s’approchant de Marianne dont elles caressent maintenant le corps immense. Alors que les mâchoires de Fred et Marc sont prêtes à tomber dans le sable, Marianne les appelle.
- N’ayez pas peur, je ne vais pas vous manger. Laissez tomber vos maillots et approchez vous.
Comme h y p n o t i s é s, mes deux compères quittent leur maillot et se dirigent avec une démarche de robot vers l’immense déesse. Marianne me dépose à ses pieds pour que ses deux amies me prennent en charge. L’une d’elle se met à m’embrasser torridement pendant que l’autre frotte sa poitrine tendue contre mon dos. L’amazone accueille Fred et Marc en écartant ses larges bras. Quand mes deux amis sont assez prêts, elle passe ses mains derrière leur nuque afin de diriger leur bouche vers ses tétons qu’ils engloutissent goulûment. Je me laisse alors aller dans les bras des deux nymphes qui vont jouer de moi et avec moi toutes la nuit. Fred et Marc ne seront pas trop de deux pour satisfaire l’insatiable amazone. Ces vacances s’annoncent inoubliables...
Fin
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